Par HeleneCaroline Fournier
Jean-Luc CURABET, né en 1963, s’est intéressé au dessin à l’âge de 7 ans, en dessinant la chèvre de Monsieur Séguin, ce qui épatait ses petits camarades de classe. Plus tard, le dessin a été sa technique favorite pour séduire les filles ! L’artiste en herbe de l’époque se voyait plutôt prof de gym, avec son troisième meilleur temps français dans le 400 mètres junior, mais sa première expo à la Banque Nationale Populaire de Longwy en 1993 lui montre la voie à suivre, loin de la performance sportive. Fils de Robert CURABET, connu dans la région longovicienne pour ses inventions sur roues, Jean-Luc CURABET a donc toujours « roulé » sur les traces d’un père au génie créatif ! L’esprit inventif de cette famille peu ordinaire sera un précieux atout pour les années qui suivront… En 1995 et 1996, Jean-Luc CURABET traverse la frontière : C’est le début des expositions en Belgique et au Luxembourg. C’est en 1997 qu’il commence à organiser des événements artistiques dans la région de Longwy. Il s’allie avec le regretté Jean-Paul Seclet (décédé en 2006) pour « Les Estivales de l’art » de Longlaville. Il multiplie les initiatives au niveau de la promotion de l’art et de la culture, ce qui contribue à amener, dès 1997, une multitude d’articles de journaux en France, en Belgique et au Luxembourg. La cofondation du Collectif International d’Artistes Art Zoom (CIAAZ) en 1997 et la fondation de « Galerie Art Zoom » en 2003 seront l’une des nombreuses causes de l’attachement des médias pour ce « combattant des arts »! L’artiste ne s’est donc pas fait connaître uniquement pour son talent en tant que peintre, mais également pour avoir défendu l’art et la culture, pour avoir fait la promotion des artistes en Lorraine et pour avoir organisé, contre vents et marées, dans un monde hermétiquement fermé à la subvention et au financement privé, des événements artistiques de qualité qui sont, par la suite, devenus des références dans la région des trois frontières (France, Belgique, Luxembourg). Avec la volonté, que seul un passionné possède en lui, il a multiplié les contacts, tant en Europe qu’en Amérique du Nord vivant une double vie : celle d’un artiste et celle d’un défenseur des arts. En 2000, sa popularité est de notoriété publique et dépasse de loin la région lorraine ; on l’appelle pour faire partie de divers jurys (Biennale des Conseils Généraux de Lorraine, Univers des Arts, Salon international d’art contemporain de Libramont (Libr’Art) en Belgique, etc.). En 2003, France3 (Paris) et RTBF (Bruxelles) s’intéressent à lui, ainsi que diverses radios (Radio Aria de Longwy, Radio Ara de Luxembourg…). Il est alors reconnu par ses pairs « expert en art » et devient, par le fait même, une figure emblématique dans le milieu de l’art contemporain européen.
Critique d’art: Jean-Luc CURABET est actuellement une référence en matière de néo-expressionnisme aux côtés de Philippe Aïni, etc. Il a été exposé aux côtés de Picasso, Man Ray, Félicien Rops, Goya, Rembrandt, Magritte, etc. (Galerie La Louve en Belgique). C’est un excellent choix d’investissement. Quantité très limitée d’oeuvres au Canada. Un nom incontournable pour tous collectionneurs qui se respectent.
Tiré du catalogue de La Grande Exposition Internationale d’ArtZoom 2009